Bonne prestation de Christophe Rippert, sous le pseudo "Nicholas Tse", pour son second rôle dans le cinéma HK. Son jeu de mèches n'a rien à envier à l'autre tapette locale, Ekin Cheng.
Second Rider
A l'époque de la réalisation de "Stormriders", Andrew Lau jurait avoir misé cul et chemise et de tout gagner ou de tout perdre à tout jamais. Si le résultat est discutable (mais restera – au moins – dans les annales pour avoir signé un certain renouveau du genre du wu xia pian à l'ère informatique), l'effort est incontestable.
En impayable homme d'affaires avant une quelconque aspiration artistique, Andre Lau profite de l'incroyable succès de son prédécesseur pour réaliser une suite "officieuse" – sauf que cette fois, il rogne à tous les coins et va au plus pressé. En résulte tout ce que "Storm Riders" avait su éviter: une intrigue torchée, des effets spéciaux ratés et un grand vide scénaristique sans aucun mérite. Reste quelques rares moments plus réussis et le lointain souvenir d'un Ekin Cheng alors encore au firmament de son éphémère carrière…
Une énorme daube.
Pas besoin de critique, le film parle de lui-même.
La daube hk ultime, qui peut laisser des séquelles (parties de freesbee avec le dvd).
Il m'a coûté 1.5€, et c'est déjà trop.
En effet j'ai loué ce navet pour 1.5e (10francs à l'époque) en regardant les images et en lisant le résumé derrière (même si je sais qu'il en rajoute toujours) je me suis dit que ça peut pas être pire qu'un bon Chuck Norris.
Et bien si. Ce film est nul. Les combats sont nuls. La réalisation est aux ras des pâcrètes, avec des effets spéciaux bidons. Et je ne parlerai même pas du jeux des acteurs, qui n'ont pas le droit de porter le titre d'acteur.
Brèf je ne vais pas perdre plus de temps avec ce navet, mais j'ai toujours ces 10 francs en travers de la gorge. Car le film ne les valaient même pas.
Un film pas bon, mais pas nul
Hélas, ce film m'a terriblement déçue sur le plan artistique, jeu des acteurs. Ce que j'ai trouvé de bien, c'est le triangle amoureux, entre Ekin, Kristy et Shu Qi. La meilleure actrice est sans doute Kristy.
Il faut prendre ce film effectivement au second degré, au premier, on risque de le trouver minable ou pire raciste, mais çà dépend pour qui. Et puis, si l'histoire ne vous intéresse pas, regardez le que pour les acteurs plutôt au sommet de leur beauté! Ca vous passera le temps.
Se laisse voir
Bourré de défauts et ennuyeux, le film se laisse voir grâce à un budget visiblement confortable et quelques idées correctes (le générique de début, le combat final, l'apparition de Yuen Biao). Cependant, le scénario accumule les poncifs et autres clichés. La narration en flash back est lourde... Bref, un film à éviter.
Juste pour faire encore descendre la moyen de cette daube.
Non sans rire cette fameuse trilogy de daube(stormrider et the duel)comme je l'appelle est eviter avec n'importe quelle pretexte(genre mon chien a manger le lecteur dvd ...).
Et dire qu'il a des centaine de film qui meritterai dune sortie DVD française et on nous sort ces daubes....
;(
Disons clairement qu'on se fais "chier" désolé pour le mot mais c'est vrai !!
On comprend rien , y'a des flash back incésent , on s'ennuit comme pas possible !! Je prefere largement Stormrider !!
Le seul point positif du film c'est les effets spéciaux qui sont sympa c'est tout !!
11 novembre 2002
par
ryoma
à film à l'américaine, c'est à dire une longue bande annonce raciste
3 choses:
1 - Je suis fan de ces films de genre se déroulant à la fin et au début d,une époque. LA horde sauvage, Whate Price Survival et de nombreux Ninkyo nippon. Donc j'étais disposé à aimer malgré Ekin.
2 - Je ne suis pas victime du politiquement correct au contraire.
3 - je ne suis pas blanc mais eurasien marié à une eurasienne. Donc si je n'aime pas, ce n'est aps en tant que Caucasien. Mais en tant qu'humain.
Mais Ekin et andrew Lau font fort. Malgré mes dispositions, ils m'ont détruit le goûts de vivre.
Tout d'abord le film est d'un raciste puant. Dur à avaler.
des exemples? Le moine bouddhiste est orthodoxe. C'est à dire qu'il suit la règle de ne pas tuer à la lettre. Une scène le montre dans une cale de bateau, crevant de faim et refusant de manger un insecte que Ekin veut partager. Sa raison? Tuer est mal. Même un insecte (peut être était-il seulement dégouté à l'idée de se manger un cafard). Par contre, il tuera joyeusement de méchants blancs. Un blanc ne vaut pas un cafard.
Autre exemples? LE maitre d'armes chinois interpreté par Anthony Wong fait un duel avec le Japonais Francis Ng. Il semble qu'Anthony gagne le duel (difficile à dire vu qu'en fait ils ne se touchent pas, ils se jettent de l'eau!!) car il insulte le Japonais en lui disant que sa technique est minable et qu'il n'est pas digne de son école martial. Par contre, on apprend plus tard qu'en fait il Anthony avait perdu (il meurt de ses blessures et Francis Ng se porte très bien. Dans mon livre, si tu fais un duel et que tu te fais tuer, peut-etre que ta technique n'est pas si bonne.) et il mourt de ses blessures internes. Donc quand un chinois gagne, il est le meilleur mais quand il perd, il est toujours le meilleur. En fait face au JAponais, un chinois ne perd jamais et si par hasard ça arrive, ben le japonais est quand même un pas bon.
LE film est truffé de ces idées vaseuses dignes d'un film de propaguande nazi. Le ciné HK n'a jamais été très PC, voir les nombreuse blagues sur les noirs ou les Indien des Indes mais jAi toujours rigolé de bon coeur (je suis d'origine indienne). He oui les blagues racistes même sur moi, me font rigoler parfois (ça dépend).
MAis les sophismes, syllogisme et autre analogies et comparaisons vaseuses, en un mot la démagogie, ça me fait pas rire du tout.
Côté technique, Andrew Lau qui est un directeur photo géniale, semble croire que ça suffit pour faire un film. C à d. avoir de belles images. CGI (raté), mouvements de caméra, jeux de couleurs ectetc le tout monté ensemble sans émotion ou quoi que ce soit.
Côté acteur.. bon sang mais c'est Ekin!!!?
Ce type est un vrai making Off ambulant. En effet, il faut savoir que les films HK ne sont jamais, sauf exception, tourné avec prise de son direct. On peut donc crier sur le plateau.. et le réalisateurs peut donner des directives.
Donc, concentrez vous sur Ekin. Prenez la premiere scène. On peut quasiment entendre Andrew lui crier les directives tant son jeux est mécaniques. Ekin court! Ekin court. Arrête Ekin! Ekin s'arrête. Regarde la neige! Ekin regarde la neige. Lève les mains pour toucher les flocons! Il lève les mains. Maintenant, soit étonné! Ekin arrête et ne fait rien. Marche de long en large! ect ect .. on peut voir les directives à la seconde prêt.
Mieux, lors de la scène où les Ninja tourne autours de Ekin en CGI, Ekin doit donc resté immobile et attendre (la scène sera accélérée à la post prod). On voit donc Ekin fermé les yeux, attendre, s'emmerder (il semble vraiment s'ennuyer, on voit mème qu'il a de la difficulté à garder ses yeux fermer). Ekin n'est pas crédible meme lorsqu'il ne fait rien).
En fait, Andrew et son protégé on put faire croire qu'ils avaient du talent avec Young and Dangerous. Parce que la série est plus restrainte et Jordan Chan et cie sont des acteurs capables (on ne parlera pas des propositions vaseuses comme celle qui dit qu'un gangster peut être honnête tout en faisant un métier malhonnête et que de toute façon, lorsque les Triades font des choses mauvaises, c'est à cause des mauvais éléments dans le groupe. Alors On les tue et c'est tout et tout redevient beau - idée que véhicule bien des films asiatiques: ce n'est jamais le système qui est en cause mais toujours un élément qui ne fonctionne pas. Il faut donc éliminer cet élément et tout redevient ok. En gros: il nous faut de bon chef respectueux des traditions et pas trop occidentalisé). Mais avec ce film, là, ils prouvent bien leurs manquent de talent et de tout le reste.
Plusieurs films de Lau ont des propositions ignobles (Désolé, mais il s'Agit d'un fait, il y a vaiment de l'argent sale dans la cie qui produit YaD) et comme toujours les héros de ses films sont parfait. Ils forment une grandes familles unis (Les Triad de YaD, les chinois de A MAn Called Hero). seul Stormrider montrait un conflit intérieure... mais Sonny CHiba est quand meme un japonais pas gentil.
Bon divertissement
Les combats sont acceptables sans plus,les décors parfois faux mais ein cheng, nicholas tse et a.wong empêche le bateau de couler!
C 'est très laid !
A man called hero est un film infâme ,une mixture indigeste se réclamant du wu xia pian moderne (preférons le très beau Savior of the soul).Andrew Lau confirme qu' il est un cinéaste épileptique et tapageur noyant ses films dans une bouillie visuelle nauséeuses bourrée d' effets de style tape a l' oeil qui donnent mal au crâne ,on peut aussi s' indigner des rôles donnés aux acteurs (trop nombreux)ou du scénario inexistant vidé par son trop plein (?!!!).
Non seulement le film est mauvais mais il est parcouru d' une prétention écoeurante ,Lau essaie de faire un mix entre Il était une fois en Amérique et The sword...Pour deux chefs d' oeuvre :Un nanar ! A force d' accumuler les personnages ,les histoires et les actions plus ou moins superflues Lau oublie carément une chose essentielle :Un scénario !
Ekin est pitoyable (3 expressions...quel acteur !),Shu Qi ne semble justifier sa présence uniquement dans le but d' attirer de jeunes mâles avides...et que viennent foutre Yuen Biao et Francis Ng (Déblatérant des dialogues ineptes avec le plus grand sérieux)dans cette galère.
En 2 mots Aman called hero est un film qui ferait passer Stormriders pour Legend of Zu...c' est dire !
CORRECT. FILM A VOIR ENTRE COPAINS
A.LAU nous fait ici une sorte de stormriders "bis" Le punch et le talent en moins diront certains... A voir par curiosité (pour Ekin!)
Affligeant...
Pfou dur de le regarder jusqu'au bout... Lent, un scénario loin de casser des briques, ennuyeux. A éviter!
un "knock-off" de stormriders sauvé du désastre par des petits détails perdus.
que dire ? les acteurs ? insignifiants. la mise en scéne ? vu et revu, d'une banalité consternante. le coup des filtres et autres ralentis enfumés, c'est presque des cas "écoles". les effets spéciaux ? bien intégrés mais il ont oubliés d'augmenter la resolution ce jour-là. ils ne sont pas ratés, non, mais ils manquent d'impact.
alors que reste-t-il ? des "tronches". Anthony Wong en Sifu, c'est toujours bon a prendre et les filles sont jolies. le coté irrévérencieux des films HK est même là ! une paire d'homosexuels et une petite image que je garderai dans ma tete: l'affiche de l'oncle sam "U.S. Army wants you !" dans la ruelle lorsqu'ils se battent à coup de super-techniques. rien qu'avec cà, un film ne peut etre totalement mauvais.
21 février 2002
par
JRico
Ekin Cheng et son jeu trouveraient leur place au musée Grévin.
Ce film est certes plastiquement réussi, mais on s'arrête là, les acteurs sont mauvais, Ekin en tête, le scénario un rien négligé, la mise en scène d'Andrew Lau s'apparente à celle d'un Roland Emmerich, c'est à dire beaucoup de bruit pour pas grand chose, des budgets démesurés dans les mains d'un tâcheron même pas honnête.
DE BELLES SCENES POUR UN FILM QUI SE LAISSE REGARDER
A Man Called Hero est un bon film, spectaculaire et envoutant. Le scénario est difficile par moment à suivre mais on est très vite pris dans l'histoire pour s'attacher au héros... Qui s'appelle Hero. Les scènes de combats, sabre au poing, sont bien filmés (la scène finale vaut le coup d'oeil), les décors sont non moins attrayants et les personnages, bien que nombreux pour une telle histoire, crédibles. En résumé, A Man Called Hero est un bon film qui vaut d'être vu au moins une fois.
Images & Words
Andrew Lau est un grand réalisateur dont les mérites sont nuls. C'est pratiquement un artiste conceptuel: il met en place des chaînes d'idées où la technique reçoit le rôle propre de la réalisation, du faire-chose. Il en était ainsi de The Stormriders grand film hybride qui altère la pureté conceptuelle par un véritable geste de réalisation grandiloquent et déliré. Mais avec A Man Called Hero, seul le concept reste: ici de la romance, là de l'intrigue politique, là de la bataille surréelle - et à Untel ou Untelle d'incarner cette romance, de faire vivre des chocs à hauteur de Statue de la Liberté. Dans A Man Called Hero, Andrew Lau s'efface effectivement: il met en place une machine neutre, comme dans les premiers James Bond, un objet formaté répondant à un cahier des charges (refaire The Stormriders) par l'exécution brute de celles-ci. S'il y a du génie à l'absence de génie, alors A Man Called Hero est un grand film.
moins bien que Stormrider,mais certaines sènes sont belles à voir
Attention, un conseil avant de voir ce film: soyez en forme, pas question de le regarder après une dure journée de travail ou tard dans la soirée...
pourquoi? ce film est contrairement à son prédécesseur, Stormrider, peu clair: la réalisation comporte une petite dose d'inspiration bien que l'image soit belle et colorée; pas facile de suivre l'histoire avec tous ces flash back et tous ces personnages dont certains sont inutiles...de ce fait le scénario semble compliquéeeeeee mais en fait il est là, ni simple ni complexe mais juste prétexte à un imbroglio de personnages(un mari, sa femme, son fils, sa fille, son frere d'arme, plein de maîtres, des japonais qui ne font pas grand chose (avec Hsu Chi en japonaise!), deux homosexuels, un moine, ...). Il laisse quand même le soin au spectateur d'élucider par soi-même un détail que le film ne dévoile pas et j'ai trouvé ca fun.
L'action, y en a pas beaucoup, c'est pauvre au niveau martial, mais au niveau visuelle les effets speciaux permettent un tres beau combat sous la pluie qui sert alors d'arme et d'un autre se passant sur la statue de la liberté (qui se retrouve en piteuse état à la fin du combat avec notemment un bras en moins!).
Film à voir car sympatique, mais peut etre pas à revoir.
Avec tous ces moyens, Andrew Lau fait ce qu'il peut... peu
Le tout doublé, il faut le dire d'un message a l'idéologie douteuse
Loin d'être aussi mauvais que tout le monde semble le dire, un divertissement qui possède certaines qualités.
But of cuuuurse, Andrew Lau reste Andrew Lau, sa mise en scène clippesque se veut très moderne, et donc use et abuse d'artifices sans réelle justification.
Pourtant il faut avouer que dans l'ensemble ça marche, et sur un plan purement esthétique, le film est loin d'être raté. Certains plans sont très beaux (je pense notamment aux plans avec la neige au début du film), voir même certaines scènes entières, comme cet affrontement très original sous la pluie (qui reste probablement LA scène du film).
D'autres effets tombent à plat, et certains sfx passent mal, comme ce passage sur la statue de la liberté. Bien sûr, Andrew ne maitrise jamais réellement son propos, il privilégie la forme sur le fond, et le scénario s'en ressent. Mais le plaisir des yeux restent intacts.
Pour ce qui est de l'histoire, je ne connais pas le manga dont est tiré le film, mais nul doute que les ellipses doivent y être nombreuses également. Ce qui s'avère à priori une qualité, puisqu'il y a quand même un certain suspense quant au sort de certains personnages, et la construction non linéaire, sans nous perdre, donne un rythme à l'ensemble. Mais les non dits sont trop nombreux, et surtout on été écrits de manière à générer des non dits sans jamais y répondre. En résulte un trou scénaristique qui ne peut satisfaire le spectateur qui peste contre la supercherie lorsque le générique de fin déboule.
Nous ne parlerons pas des élans racistes présents tout au long du film (Andrew Lau aurait confié dans une interview qu'il aime beaucoup les sushis en fait), mais encore un détail peu appréciable.
N'attendez pas non plus un film d'arts martiaux, et malgré la présence de Yuen Biao et Ken Lo au générique, ils se contentent de quelques coups de lattes. Biao a beaucoup de prestance dans son rôle, mais pourquoi lui donne-t-on toujours des rôles limités à quelques scènes?!!!
Ekin Cheng est parfait dans ce rôle, puisqu'encore dans sa période peu expressive, mais qui convient au personnage relativement peu présent tout au long du récit. Nic Tse est exaspérant mais on le voit peu, idem pour la fille, Anthony Wong est méconaissable, Francis Ng excellent comme d'habitude, Kristy Yang jolie, bref, personne ne livre une grande prestation, mais chacun fait don de sa présence, les rôles n'étant pas assez étoffés.
So, it's not the movie of the year, it's very sur, but it's not the navet that everybody dit. On passe quand même un moment sympathique à défaut d'autre chose.
A man called Hero est l’un des plus mauvais films de l’ex-colonie de ces dernières années qu’il m’ait été donné de voir. Sous couvert de refaire « aussi bien » (du moins financièrement) que The Stormriders, Andrew Lau a totalement bâclé son travail, provoquant de ce fait l’ennui et le dégoût. Le scénario accumule les poncifs les plus extravagants, les dialogues sont d’une pauvreté à pleurer (une phrase de l’oncle : « c’est la destinée, et quoi que nous fassions, où que nous allions, nous ne pouvons rien contre elle »…), et la construction du récit basée sur flash-backs/présent devient très vite pesante. Quant aux différentes scènes, elles se succèdent uniquement par option de facilité, comme si aucun lien logique ne les reliaient entre elles ! Cerise sur le gâteau, on retrouve dans le rôle principal un monument de non-expression du visage tout droit sorti de l’école Steven Seagal, j’ai nommé Ekin Cheng…
