Beaune : p'tit billet entre 2 séances

... avant d'y retourner, d'aller manger un bout, finir mon tome 6 de Pluto sur un banc au soleil et enchaîner une toile. 

The Man From Nowhere est un Leon's like archi violent, encore une fois bien nihiliste dans un genre Hard Boiled que les coréens poussent vraiment dans ses derniers retranchements ! Won Bin est un simili Crying Freeman assez convaincant, ça dépote bien malgré une réalisation parfois brouillonne et un rythme pas toujours bien géré. Et, parfois, il pleut. Et Won Bin s'accorde une posture "mèche rebelle" qui ne m'avait pas manqué..

Je n'ai pas encore eu l'occasion de voir The Insider. C'était soit la projo, soit l'interview de Nick Cheung, devinez keske j'ai choiz. 

Je sors de The Unjust de RYU Seung-Wan (The City of Violence) : même s'il est un chouillat trop étiré sur la fin on tient là un polar de premier ordre, très bien gaulé, sacrément bien filmé, une sorte de City Of Violence où les coups de pute remplacent les beignes, c'est blindé de personnages construits, en majorité des crevards... Il y a du James Ellroy dans ce scénar. Honnêtement, je ne m'attendais pas à ça de la part de ce réalisateur : il est puissant ce film.

Bon, c'est pas tout ça mais comme diraient les guerriers de la montagne magique : zou, on y retourne.

J'oubliais : je l'ai revu, Time & Tide : le panard !!!
   

la grande attraction du film était quand même le style de combat au couteau qui était une vraie nouveauté.

Xavier écrivait y a pas longtemps sur The Man from Nowhere qu'il était du genre efficace et c'est bien vrai. Par contre, il disait aussi qu'il ne serait pas inoubliable, autre chose plutôt vraie. J'ai du le voir y a trois semaines et je n'en ai pas trop de souvenir. Ca reste un bon divertissement si l'on peut parler de divertissement pour un film qui se veut "noir".
Côté baston, ça donne bien. J'ai également pensé à l'eskrima. Par contre le Won Bin, il a pas la carrure pour un tel rôle bien qu'il a le physique. Il a pas ce côté "cassé par la vie" de son personnage. Son regard le trompe, je sais pas comment l'expliquer ici, bref. L'histoire reste bateau, c'est vu et revu, c'est calibré pour marcher, calibré pour faire pleurer à l'instant T souhaité. La réal' mouais, c'est vu un millier de fois dans le genre, trop carré, trop conforme. La photo' bah coréenne, trop lisse, trop belle, ça manque de saleté, de folie, d'un pétage de plomb le même qui pousse cet (anti-)héro à retrouver la petite fille...

'tain, même la gamine y passe :/

Nick Cheung! Bien joué Arno-san!

Quelques mots de Simon Yam, Anthony Wong, Michelle Ye, Louis Koo, Gordon Lam et Richie Ren au sujet de ce programme : http://www.youtube.com/watch?v=pQXeCSPvASY

Veuillez saisir ici votre pseudo a la: Quoi ?! On nous aurait donc menti ? Hun !

"tain .. la diana qui gicle mon "make a biffle" sur le post Blue Spring du bouc + la question Sora Aoi ....  :(

Veuillez saisir ici votre pseudo a la: Qui gicle ? Pige pas. C'est moi qui t'ai répondu. Diana n'est pas devant le PC... là, c'est moi qui gère. :)

Veuillez saisir ici votre pseudo a la: Quoi ?! On nous aurait donc menti ? Hun !

Elle est très bien cette cassette.

Tes boobs, tes trans' et autres trav' me manquent sur HKCM...

Pffff, la VHS HK vidéo contenait déjà le director's cut voyons !

http://www.paperblog.fr/1981751/l-enfer-des-armes-don-t-play-with-fire-director-s-cut/

nihilistement poseur.