Ah, les femmes. On les aime tellement. On les pousse à travailler, à devenir pompier ou soldat et à accéder aux plus hautes fonctions, avec parfois le petit coup de pouce de la discrimination positive, tout ça. Sauf qu’on se demande des fois si l’on fait bien, quand on voit le résultat. Parce que bon, My Daughter par exemple (0.25 / 5), c’est quand même limite du foutage de gueule bien comme il faut. Comment, à l’âge de 28 ans, hein Charlotte, peut-on se lancer dans le cinéma tout en n’ayant strictement rien à dire, et se retrouver à se filmer le nombril comme la majorité des réalisateurs français ? Il n’y a pas un sujet qui l’intéresse, dans la vie ? Je sais pas moi, les relations entre la communauté chinoise de Malaisie et les malaisiens « pur souche » ? Les matchs de hockey sur gazon ? La reproduction des cabillauds ? Un truc, quoi. N’étant cependant pas un garçon rancunier, je l’ai aidé par l’esprit, Que le Ciel m’entende, à se ressaisir en quittant la salle au bout de 45 minutes pour manifester mon mécontentement, juste au moment où la maman à l’écran vomissait par la fenêtre pour la 2ème ou 3ème fois sur le joueur de guitare qui passait par là, ne me demandez pas pourquoi, réduisant à néant tout suspens de mon propre plein gré.
Depuis le temps que je vous disais que les actrices vietnamiennes étaient des bombes. Veronica NGO Thanh Van était présente dans toutes les éditions de Miss Cinémasie, et personne ne l'a remarquée... Je vous l'avais dit ! Alors n'hésitez pas à lorgner du côté de Sai Gon !! Foi de Marmotte !!!!