Welcome to purge land
- Eh, dis Bob, Azumi a t'il un rapport avec Misumi?
- Aucun.
- Merci, c'était juste pour savoir. Excuse moi de t'avoir dérangé avec ça.
- Y'a pas de mal.
Pathétique
Interprétation pathétique, casting pathétique, action pathétique, scénario pathétique, longueurs pathologiques... et pourtant manga - à succès - qui à l'air sympathique. Ce n'est définitivement pas le cas de cette adaptation du hype Kitamura. Tous les défauts de Versus deviennent ici rédhibitoires en raison du changement de perspective (gros budget, grosse license, gros battage, fini la grosse déconade, grosse tête du réalisateur, grosses chevilles aussi...). Il n'y a en tout et pour tout que deux choses à sauver de ce naufrage : un plan avec sfx intéressant lors d'un combat en mileu de métrage et les deux bad guy (le samuraï et le malade de la tête) qui ont une gueule.
On rétorquera qu'il s'agit d'une approche manga et que si on aime les mangas ça passe... Celui qui dit ça a besoin de se refaire une éducation quant à l'intérêt des mangas. Il suffit de feuilleter quelques pages de l'oeuvre originale pour apréhender la distance qui la sépare de son équivalent live : une bonne interpétation et casting réussit (le trait, le dessin font "passer" le chara design) et un montage efficace (le découpage, la "mise en case").
Un exercice intéressant pour mettre le doigt sur l'inanité de ce film : le dvd japonais propose la possibilité de voir toutes les scènes de combat en enfilade, aussi ennuyeux que le film en entier.
Comme on dit dans nos campagnes : un gros film de tapettes.
Pour rester courtois,
Azumi, c'est
Versus version chambara "shonenisée" avec plus de moyens, de longueurs et moins de pêche.
Maintenant, pour exprimer le fond de ma pensée, Azumi, c'est une bien belle pop daube comme il en fleurit tant de nos jours.
Kitamura ne sait proposer qu'une galerie de personnages pop qui jouent les grands guerriers et c'est tout. De combattants extraits d'un manga type Lone wolf ou Ninja scroll, il ne reste finalement que leur look bien trop propre et lisse pour être authentique. Faux jusqu'à la moelle. A l'image de Versus, Azumi c'est une tonne et demi de frime et rien d'autre. Vidé de toute substance, Azumi n'est qu'un clip gnangnan même (surtout) pas efficace où la liste des défauts ne cesse de gonfler avec les 2h20 qui n'aboutissent que très péniblement.
Les jeunes acteurs "top models" sont désespérants. Pas le moindre charisme à l'horizon. L'héroïne en première ligne est une catastrophe à elle toute seule rarement égalée. Aucun ne sait bouger, tenir un sabre et pire encore, jouer un combat avec un minimum d'intensité, ne serait-ce que dans le regard. Les chorégraphies sont une nouvelle fois (cf Versus) clipesques et inefficaces au possible. Elles ne transmettent rien si ce n'est de la frustration. Quelques litres d'hémoglobine participent à l'unique sympathie que ces "danses de tapettes" peuvent dégager. J'abat juste un petit joker pour le massacre final qui pourra satisfaire quelques ténus de clips où la caméra bouge plus que les combattants eux-même. Musique pop guitareuse horrible de banalité, néant scénaristique ouvertement déclaré, molesse pop romantique inepte. Tout cela ne serait pas très grave si la mise en scène et les combats vivaient un peu. Or, la première est anémique et ces damnés combats sont (pire que Versus) flasques, éxecutés par des manchots et ne peuvent même pas se permettre d'être illogiques tant ils sont mornes, mal réalisés et vidés de toute originalité. Il ne subsiste finalement que le thème barbare et une belle photo pour faciliter la digestion de ce défilé de mannequins, cette grande foire de combats superdiscount.
Un divertissement tout à fait honorable
Il est évident que pour le fan de cinéma asiatique déjà un peu expérimenté et fan d'arts martiaux, Azumi peut provoquer le même genre de réaction que Twins Effect. La recette est finalement un peu la même: on reprend un genre très classique, on le traite de manière assez moderne avec de jeunes acteurs. Si les fans de "old school" vont évidemment grincer des dents pour des raisons tout à fait justifiées ("Où sont les artistes martiaux?"), on ne peut pas non plus enlever des qualités à ces deux films, qui ont d'ailleurs trouver leur public.
Alors bien sûr, ces jeunes acteurs japonais sont peu crédibles avec une épée à la main, au moins autant que les Twins en chasseuses de vampire. Personne n'ira contredire cet état de fait. Mais l'interprétation n'est qu'un des aspects d'un film, et ne fait pas s'effondrer l'ensemble. A côté de ça, on trouve ici un scénario assez basique mais plutôt bien rythmé, une bonne musique, une réalisation offrant quelques passages fort réussis, et une dramaturgie assez bien exploitée. Le film japonais choisit une autre voie que son homologue HK, pas trop d'humour ici, ni d'effets spéciaux flashy, on donne dans le combat à outrance, avec beaucoup de sang. La violence et la réalisation de Kitamura viennent donc ici compenser les capacités athlétiques moyennes des acteurs. On aurait aimer que le potentiel dramatique du film soit encore plus exploité, notamment au niveau des états d'âme de ces jeunes tueurs, mais en l'état c'est déjà satisfaisant. Mais le traitement est aussi résolument "fun", avec ses personnages souvent haut en couleur (voir le tueur effeminé), même si les Ninja sont forcément décevants (où sont les tactiques de la mort?).
Quelques fautes de goût viennent tout de même entâcher l'ensemble, comme quelques effets spéciaux peu réussis, des costumes peu convaincants, surtout sur des acteurs si frêles. Kitamura livre une réalisation qui oscille donc entre des passages un peu trop cheaps pour une production autrement assez importante, et des moments de plus grande ampleur franchement sympathiques (le final à 200 contre 1). Ses mouvements de caméras sont une nouvelle fois assez variés, alternant le bon et le moins bon (utilité du travelling circulaire vertical, même si innovant). Le montage original est par contre un petit peu long (2h20 en édition japonais, un peu plus court en édition européenne PAL), personnellement je lui ai préféré le montage alternatif plus court d'un quart d'heure. Les coupes se sont faites principalement sur des dialogues ou des scènes supplémentaires pas vraiment mauvaises, mais pas vraiment utiles non plus.
Kitamura livre donc un film certe bancal, mais qui a suffisamment de qualités pour faire passer un bon moment. Beaucoup de choses auraient pu être améliorées, c'est une évidence, mais on s'amuse tout de même beaucoup de voir cette frêle jeune fille décimer des hordes de vilains pas beaux pendant tout le film. On ne chatouille évidemment pas les grands films du genre, mais Azumi se veut avant tout un divertissement "moderne" et pas un grand film d'arts martiaux qui se prendrait très au sérieux.
De nets progrès
Ayant détesté Versus, j’appréhendais la vision de Azumi avec beaucoup de méfiance. Mais au terme des 2h20 que dure la version longue, force est de reconnaître objectivement que, si ce n’est pas un chef d’œuvre, ce film est quand même un bon film d’action, avec ses défauts certes, mais aussi avec des qualités indéniables qui le différencient franchement du long métrage chébran et amateur qu’était Versus. Adaptation ambitieuse d’un manga à succès, Azumi met au premier plan une jeune actrice fraîche et naïve, UETO Aya, dont l’inexpérience des arts martiaux amène à un montage volontairement embrouillé des premières scènes d’action pour cacher un peu la misère, mais dont la progression personnelle tant au niveau physique et psychologique au fil du tournage est clairement visible pendant le film, Kitamura se permettant même des plans séquences audacieux (le fameux massacre des 200 hommes dans le final) avec un résultat pas du tout déshonorant. Car c’est bien la performance de UETO Aya qui porte l’œuvre de bout en bout, permettant ainsi de fermer l’œil sur les longueurs ou l’insuffisance de charisme des jeunes combattants, et de donner un nouveau visage à cette résurrection moderne du chambara, dont les efforts d’innovation côté mise en scène (caméra rotative verticalement, mise à mort de 5 samouraïs en image de synthèse), aussi tape-à-l’œil soient-ils, ont leur petit effet.
L’autre force du film, c’est son scénario assez malin et ambigu, basé exclusivement sur le principe d’actualité très en vogue de « guerre préventive ». En effet, cette équipe de tueurs formée depuis l’enfance à assassiner des chefs de clans qui pourraient potentiellement conduire le Japon dans un état de guerre part autant d’un bon sentiment (le « plus jamais çà » juré sur le champ de bataille par 2 survivants) que d’une folie meurtrière douteuse (obligation de tuer ses frères d’armes pour prouver sa compétence, questionnements légitimes sur la nécessité et la justification de cette mission quasi-divine où des hommes décident que d’autres hommes doivent être éliminés pour préserver la paix).
Bref, il y a du plaisir à prendre tant au point de vue visuel que thématique, on ne s’ennuie pas, Azumi est jolie… Que demander de plus à un tel actioner ?
Est-il possible de faire mieux ?
En lisant les autres critiques, je suis tombé des nues, est-ce qu'on parle bien du même film? Parce qu'autant Versus pouvait par moment passer pour une fumisterie magnifiquement mise en scène, autant Azumi écrase littéralement tout ce qui s'est fait avant, japonais ou autre. L'ouverture du film donne le ton, mélange de poésie, certe un peu naïve, et d'audace. Car Kitamura ose! Il ose les mouvements de caméra qui n'importe où ailleurs sembleraient gratuits et artificiels, comme ces plans de combats filmés par une caméra en rotation. Il utilise à fond le scénario pour succiter l'émoi, et réussit à faire passer ce qui pourrait être inacceptable comme une évidence et une nécessité. Coté histoire, le rythme est également bien construit, puisqu'après une montée en puissance, on a droit à une pause nous centrant un peu plus sur le personnage d'Azumi qui nous permet de reprendre souffle avant l'explosion finale. Que dire des combats? Simplement qu'esthètiquement on approche la perfection, je ne parle pas ici de l'aspect martial avec des kata irréalistes, mais de l'impression de facination ressentie devant ce déferlement d'image. Et moi qui ai toujours trouver les combats à 1 contre 10 difficilement crédible, j'avoue que ce combat au Azumi affronte quelques dizaines d'ennemis m'a littéralement laissé sous le charme. Pour continuer, je pourrais tout aussi bien parler du charisme des acteurs ou de la musique, mais pour résumer c'est simple: précipitez vous sur ce film!
01 septembre 2004
par
jeffy
ça tue!!!
si certain on été deçu par alive (pas moi mais bon...), ce film va forcement vous faire plaisir!!!
franchement, ça fait longtemps que j' avais pas vu un aussi bon film
La rose et le glaive
Audacieux pari, celui que de confier la réalisation d'une superproduction à un jeune réalisateur loin d'avoir fait ses preuves. Suite au succès international (et culte) de son "Versus", voici donc Kitamura aux commandes de son premier blockbuster.
Force est de constater, que le cinéaste s'en sort plutôt bien. Il met en boîte un pur divertissement clairement formaté à un public adolescent en restant fidèle à ce qui avait fait toute sa réputation.
Plus étonnant, "Azumi" est sans aucun doute l'un de ses rares réalisations à ne pas souffrir d'un manque de rythme flagrant. Les scènes dramatiques s'entremêlent habilement aux (nombreuses) scènes de combat et donnent part égale à l'approfondissement aux personnages principaux et leurs prouesses martiales. Dommage seulement, que le jeu ultra-limité des jeunes comédiens ne supportent l'intensité requise: limités dans leurs expressions, ils n'arrivent malheureusement jamais à donner la profondeur nécessaire à leurs personnages à des adolescents, ballottés entre l'incrédulité de al découverte du monde qui les entoure et leur éducation comme machines à tuer. Ainsi, le scénario passe à côté de la dimension tragique d'un "Battle Royale" dans la manière à décrire les enfants.
C'est pourtant justement cette dimension, qui est la plus intéressante du film, entre l'épreuve "finale" du début du film, à la découverte du monde (village, spectacle, partie de pêche, etc) jusqu'au contact avec leurs pairs. Dimension d'autant plus tragique, qu'ils ne se frottent qu'à la pourriture de la terre ci-bas, dont les hommes, notamment, ne sont dépeints que comme des êtres sanguinaires ou obsédés. Pareillement, le personnage même d'Azumi aurait pu donner matière à étoffer l'intrigue d'une véritable profondeur, entre la réminiscence de son traumatisme lié à son enfance et de sa condition d'assassin passant à côté de sa féminité (remember "Nikita"…). Au moins, ces esquisses avortées assurent au spectacle tout de même une dimension plus profonde, mais laissent un léger goût d'inachevé.
Peu importe, puisque le médiocre second épisode va réussir à tuer dans l'œuf une franchise, qui aurait pu s'avérer beaucoup plus juteuse…
Pas aussi frais que Versus mais...
Kitamura : le cas! N'ayant pas encore vu l'autre "jidai eiki" (ou chambarra?) du réalisateur , ARAMAKI/Le Duel, je ne pourrais pas comparer les deux...Premier constat : fans de Kurosawa et de cinéma classique et codé : essayez mais ça risque de ne pas vous plaire, accros aux animés type SAMURAI DEEPER KYO/KENSHIN/NINJA SCROLL (un peu) : bondissez dans votre kimono et aiguisez vos katana! Me situant entre les deux, le film m'a fait une drôle d'impression : celle d'assister à un semi-ratage/mini-bijou : je m'explique. Certains plans sont vraiment beaux et travaillés alors que d'autres sont soit totalement gratuits (la caméra qui virevolte autour d'Azumi et de son adversaire le plus corriace, les ralentis/accelérés sans justification) soient un peu génants (faux raccords dans les combats, spfx TRES kitsh -les fantômes autour d'Azumi-). Néanmoins il se dégage de l'ensemble du film une vraie énergie, un sens de la mise en scène uniquement tournée vers le Fun : c'est du manga live avec combattants limite surhumains affrontant des hordes d'ennemis de plus en plus fous et dangereux ! Alors, tant pis pour le scénario et les motivations des personnages : on veut que tout ce beau monde s'entretue et de ce point de vue, on est plus que bien servi! Beaucoup évoque le fameux combat final qui , c'est vrai, vaut largement le détour ; pour ma part, j'ai adoré la percée du Maitre dans le château du daimyô : dans cette scène on n'est pas loin d'un vrai classique. La musique est à l'image du film : tantôt belle, épique, voir mélancollique, tantôt limite électro et en décallage avec les images. Pour finir la chose qui m'a le plus chagrinnée est le son ignoble de chien pleurant que pousse l'un des personnages secondaires lorsqu'on lui cogne dessus : à la base je croyais même à un défaut de la piste son du DVD! Atroce... Un film bizarre mais qui a le mérite de divertir du début à la fin malgrè ses quelques défauts : à voir pour ses nombreux combats et pour les tentatives de Kitamura de rellier son film aux chef d'oeuvres du passé...De toutes façons, ce sera toujours mieux que le devoir appliqué que constituait Last Samurai!
la derniere demi heure rehausse nettement le film.
en effet le film est plutot bof, azumi est belle et joue tres bien son personnage mais des combats un peu grotesques parsemme le film. ce n'est qu'au moment de la bataille finale où la belle azumi se retrouve face à au moins une centaine d'adversaires que j'ai senti que le film allais prendre enfin la signature de kitamura: combat à une contre cent d'une durée rarement vu depuis les shaw brothers ou les vieux jackie chan, délires visuels, camera déjantée, on dirait que le réalisateur s'est retenu pour exploser à la fin.
un jour, il pondra un chef d'oeuvre cet homme.
Pas très brillant
Les seules choses corectes sont l'actrice principale qui a du talent et qui se débrouille plutôt bien pour une fille qui n'avait jamais touchée un katana de sa vie avant de faire le film. Et puis la scène d'action final.
Sinon pour le reste c'est pas brillant. Le scénar, les seconds rôles, la music, les scènes d'action, la réalisation... sont pas à la hauteur. Par moment on se croirait dans un téléfilm.
Rhoo la frime!
Halalala, que c'est dommage! On avait tout pour faire un bon film.... mais que dis-je? En fait non, on avait rien pour faire un bon film! Des acteur fades, même si comme tout spectateur masculin je ne reste pas insensible aux charmes de notre Azumi, un réslisateur qui n'a pas encore compris que cinéma ne rime pas qu'avec gomina, et qu'à force de vouloir en faire des tonnes on en fait pas assez, un scénario qui n'épargne aucun cliché, que ce soit le méchant (grotesque) ou le coté lutte contre le pouvoir par l'assassinat,... bref, même si ma critique est injuste en ceci que je n'ai pas encore dit que je ne me suis pas ennuyé en regardant le film, on a ici une sorte de nanar hypertrophié rongé par sa prétention. Dommage, car surnagent quelques scènes sympas (les petits jeunes s'entre-massacrant, bien gore) qui semblent vouloir dire que non, Kitamura n'est pas tout à jeter.
Des qualités, mais aussi beaucoup de défauts...
Azumi est un film qui a le mérite d'essayer d'aller plus loin ou ailleurs...
Il est au début violent, ensuite, il l'est bien moins, la violence n'est plus que du sang dispersé çà et là pendant les scènes de combat, alors qu'au début elle est présente par rapport à la morale...
La musique du film est un mélange, certains morceaux sont bons, d'autres moins...
L'image est travaillée, on a le droit à des décors, de magnifiques paysages, c'est estéthique et bien travaillé.
Pas mal d'effets spéciaux numériques sont utilisés, mais par contre, ils ne sont pas maitrisés.
Il reste au film une bonne réalisation, on a même le droit à la fin à un 360° vertical...
L'interprétation générale est plutot bof bof...
Bref, il y a de la qualité et du bien moins bon.
Au niveau de l'histoire, nous sommes ici dans un monde 'manga', les barbares sont des abrutis, on lutte à 1 contre 100, on blesse un adversaire sans qui ne le sente...etc..
Malheureusement, les premiers combats nous laisse sur notre faim, et c'est seulement à la fin du film que l'on se reveille, car le film est assez long, de plus, entre les combats, il n'y a pas grand chose, les nombreux personnages auraient du être bien plus travaillés, et ils manquent totalement de charisme, quelques supers méchants sortent du lot.
Azumi est un film pour adolescent, qui malgrè sa réalisation, ne franchit rien, se contente un peu, c'est bien dommage, car on sent bien un potentiel certains, si les images sont souvent estethique, on aurait aimé une meilleure mise en scène, un scénario et des persos plus fournis, et aussi une meilleure interprétation, un rythme plus soutenu...
Un film "Playstation"!
Avec un visuel agguicheur, j'attendais beaucoup de ce film sans savoir qu'il était réalisé par le créateur de Versus. Je dois bien dire que j'aurais su à quoi m'en tenir si j'en avais pris connaissance plus tôt!
Passé le premier quart d'heure à découvrir les personnages et à entrevoir l'orientation du film, on part aussitôt dans une spiral de débauche de sang et de samouraï doués de pouvoirs spéciaux (sauts démesurés à la Bioman, êtres super puissants affrontant seuls des vagues interminables d'ennemis etc.) à même de plaire à un public d'ado pouvant s'identifier facilement aux héros... mais la mayonnaise ne prend pas.... pas du tout!
On a vraiment l'impression de regarder une version filmée d'un jeu de baston avec les mêmes personnages stéréotypés : le méchant androgyne psychopathe tordu et lourdingue, la jeune samouraï solitaire et ennuyante à mourir qui pourfend du truand pendant 1h30, le vieu maître sage et le ninja volant ... bref, tout est là pour faire de ce film une grande et pitoyable galerie de personnages soi-disant "typiques" du Japon.
Les décors sont en revanche soignés et c'est très plaisants... même si le bastion de la fin du film fait plus penser à l'île de Peter Pan qu'à un village de guerriers.
Le scénario est vide et n'est là que comme prétexte à des sauts de cabris d'une héroïne certe très mignonne mais à laquelle on ne croit pas un seul instant, pas plus d'ailleurs que la pseudo-intrigue qui doit nous mener péniblement au bout des 2h15 du film à la conclusion grotesque et qui représente bien à elle seule le vide total du scénario.
AYAAAAAAAHH !!!!
Parce que voir
Aya Ueto dézinguer du ninja ça n'a pas de prix.
Parce que même en version longue ce film est trop court.
Parce que toutes les fautes de goûts du monde ne me feront pas changer d'avis.
Et parce que de toute façon tout ce que fait
Kitamura est sublimement classe.
JOLI SPECTACLE...
...Mais sans plus.Je ne connais pas le manga d'où est tiré le film (donc je ne sais pas s'il s'y colle réellement) L'héroine est vraiment jolie (bon, je sais ce n'est pas un argument comme ça qui fais que le film est bon mais tout de même, cela a du charme ^_^) Les combats bien bourrins mais c'est tout. Alors à voir pour les curieux sinon, passer votre chemin.
Un spectacle excitant,mais un peu longuet sur la fin.
Très bon spectacle,un peu long sur la fin,mais surtout très mal fait sur le plan des sfx,bizarre vu que sur le plan technique de la mise en scène,c'est du pur bonheur!
Je ne me suis pas ennuyé,le film est fun,mais je reste un peu sur ma faim,VERSUS m'avait un peu plus excité a l'époque!
Nullité abyssale.
L'esthétisme téléfilmique relativise la crétinerie intraséque de ce "machin" filmé par un clippeur maladroit.
Frénétiquement soumis aux expérimentations nauséeuses de son auteur, ce ch-embarras détrote du début à la dernière image.
Mal joué, on se croirait revenu à l'époque des séries-ados-cons genre Miel et les abeilles; mal filmé, la caméra est toujours mal placée; non monté et ultra-patatresque, cette catastrophe filmique s'oublie comme il est vu. Manque de chance il s'allonge sur deux heures.
Les Gosha, Fukasaku et autres Inagaki doivent se retourner dans leur tombe...
2h20 de cinema grandiose
le réalisateur de versus ce surpasse dans ce film extraordinnaire. j'en ais pas vu des masses des films japonnais mais celui ci est a classer parmis les meilleurs. une réalisation soignée et des combats sublimes (et je peux vous dire qu'ils y en a pas mal) font de ce film un véritable must. une pure merveille. 2h20 minutes d'images fortes , ultra violente , d'une beauté sidérante. a ne rater sous aucun pretexte.
17 décembre 2003
par
jeff
Sympa mais trop long...
Certains combats sont intéressants mais l'ensemble est définitivement trop long. Si le film avait duré 90 minutes je pense que j'aurais crié au chef d'oeuvre mais là trop de longueurs, de combats filmés de manière trop différentes (le plan "grand huit" avec la caméra qui tombe sur les combattants" est bien inutile par exemple). Bref l'ensemble est correcte mais on est loin d'un chef d'oeuvre à mon avis.
Play again
Ce que prouve encore Azumi, c'est que Kitamu Ryuhei n'a pas d'idées, aucun talent, mais qu'il compense. Après son orgie post-moderne pour fan transi nommée Versus, où il donnait dans la masturbation gore, il s'agit toujours cette fois d'activité onaniste, mais orienté vers la mini-jupe d'une idol paumée dans un film qui ne lui ressemble pas.
Idéal pour faire bander mou et surtout "de loin", Azumi c'est d'abord une pucelle maniant l'épée comme le dard du premier venu, que Kitamura filme toujours et encore sans inspiration. Montage épileptique et plans biomanisant, sens de l'espace hasardeux et utilisation des décors, lumières, souvent insignifiants. Histoire navrante, quelconque et inintéressante au possible.
Ce qui est presque parfois étonnant, c'est la capacité de Kitamura à ne pas tenir un plan. A planter un décor et une situation qui n'est construite qu'en référence, et ne pas savoir comment la mettre en scène telle qu'il l'a vu, tel que l'original. C'est cette incapacité à ne pas tenir un duel dans les herbes hautes d'une plaine, entre un tueur pseudo pervers mégalo, faussement ambigu, et son héros au coeur d'or. Cette impossibilité qu'il a à ne pas trouver "le" point de vue, à savoir "comment" faire un découpage. Tout Kitamura est à lire entre deux mangas, quelques animés tendance Ninja Scroll, et de vague inspirations métissés de jeux vidéos. Et c'est à peu près tout.
La force de Kitamura, c'est sa faiblesse, son effet "cheap", qui ne fait que nous féliciter de sa médiocrité, nous rassurer de rester là, avec un tel objet, entre fans planqués. Azumi c'est pour les fans, "otaku" ou pas, ravis de voir là la pucelle en jupette découpés de violents guerriers, dans des gerbes de sang jaillissant comme le foutre trop longtemps tenu au chaud entre deux mangas. Kitamura, ça nous parle, ce n'est même fait que pour ça. Pour dire que le plaisir d'un anime, d'un manga, on pourrait le traduire au cinéma. Mais comme Kitamura est peut-être encore trop "fan", qu'il n'aime au fond que la distanciation (à renfort de référence comico-gore), et qu'il s'intéresse au fond assez peu à ce qu'il pourrait filmer (même avec toute sa grosse valise de citations), ses films ne décollent pas. Ils ne trouvent pas les sphères transgressive du genre, et ne font que féliciter "l'age des adorations tumultueuses". Mais au fond pourquoi pas ? Pourquoi pas s'amuser avec cette ravissante pucelle maniant les armes sans conviction, dans ce joyeux et délirant pastiche ? Rester au chaud, planter devant cette oeuvre de salon, que l'on regarde comme la centième partie "entre pote" de Soulcalibur. Azumi c'est du cinéma parce que la vidéo, les jeux vidéos, internet et les mangas, ça existe. C'est du pur prétexte. La recherche d'une épate visuel sans jamais rien révolutionner. Un petit objet à conserver au chaud sur les étagères de sa vidéothèque "de fan". Un truc dont on parle sur les forums pour passer le temps, le tuer sans jamais rien y comprendre. Un "truc" pour se projeter simplement, sans lutter, interpréter. Un film gadget. Du cinéma "goods".
Play again
Azumi, mon amour
Ryuhei Kitamura est un fan. Ses films sont l'expression la plus personnelle et la plus paradoxale de ce qu'il est, de son moi. Ryuhei Kitamura est un canal, un chauffe eau pour des substances passées. C'est que beaucoup de choses passent, à partir desquelles on se brasse un moi, tant bien que mal. Kitamura, cet éternel étudiant en cinéma est un malin qui s'est démonté comme il faut et qui a compris que son morceau préféré, c'était ce précieux moi. Un fan dont toutes les figures cinématographiques dissimulent le vide. Un vide qui s'empare des formes et des fictions, les engloutissent comme si ce n'était rien du tout. Dans Azumi, dans Versus, le code classique qui donnait jusqu'alors sa contenance au sujet est dynamité. Plus rien ne tient debout, tout se déverse tel quel, isotrope, aléatoirement, dans toutes les directions et tous les angles. Ce qui passe, ce sont des fragments, des morceaux creux qui ont autrefois eu un sens et éveillé les passions. Le substrat de ces amours passés, Azumi, est encore digne d'être aimé.
Beaucoup plus aboutit que Versus.
Très bon film dans la lignée de Versus, mais avec une touche en plus qui change le film du tout au tout et le sort de la "bonne défoulade" dont m'avait habitué Kitamura. Autant Versus est une franche rigolade assez grotesque, autant j'ai ressenti une montée de maturité de la part du réalisateur dans Azumi, même si ça reste un poil superficiel.
Bref, de beaux effets, une réalisation d'enfer (le plan 360° autour de la planche, une merveille) et de bons acteurs (pas tous, mais la plupart). Le scénario est en dessous de mes attentes, c'est le seul hic du film d'après moi.
Bluette sanglante
Voilà un produit relativement ambitieux vus les moyens investis,mais qui s'adresse en priorité à un jeune public peu familier des films de sabre.
Le choix de l'actrice pour le rôle-titre est révélateur:AYA UETO est avant-tout une jeune chanteuse Jpop reconnue.Mais si elle est évidemment mignonne avec son visage boudeur,elle s'avère inexpressive et peu crédible en tueuse implacable,même dans son joli costume coupé court.
En fait,c'est la presque-totalité du casting qui est à revoir,les costumes et les coiffures n'aidant pas beaucoup ces jeunes gens bien propres sur eux à figurer des assassins aguérris.
Le scénario alors? Il tient en deux lignes, ce qui explique les longueurs,plus de 2 heures quand même.Les scènes de combat nous réveillent d'abord de notre torpeur,mais leur répétition stérile tourne aussi vite fait à un ennui profond.Il faut dire qu'avec un sabre à la main,toute cette jeunesse est bien statique et seule la caméra bouge dans tous les sens.Dans un style clippé bien frime et sur une musique inadaptée aux images...Quand on ne se noie pas carrément dans un style jeu-vidéo insupportable (voir le combat des deux ninjas).
Pour en arriver au grand massacre final et au duel de la petite Azumi avec le personnage le plus attachant du film,ce samourai tout habillé de blanc,seule vraie référence directe à l'univers du Manga que l'on cherche en vain.Un moment un peu plus intense,c'est vrai,mais le final risible (oh!la jolie cape bleue!) gâche un peu cette avant-dernière bonne impression.
Allez,Kitamura sait tenir une caméra,mais à trop vouloir en mettre plein les yeux et se prendre pour un Artiste,il se prend les pieds dans le tapis.Avec moins de poudre aux yeux et plus de matière à filmer au départ,nul doute que cela aurait donner un truc plus consistant.Là, on regarde les jolies couleurs,et on oublie vite fait.Cela n'est pas nullissime,mais bien trop prétentieux pour ce qui n'est qu'une bluette avec du sang en plus.
Quand on veut réaliser "son" chambara,il est bon de détourner les codes et de moderniser le style,mais à tout oublier des bases qui ont forgé le genre en question,on obtient cet hybride mollasson :Kitamura aurait dû regarder ZATOICHI de Takeshi Kitano,film novateur dans la forme mais respectueux du fond, et choisir des protagonistes moins "kawaii", mais plus acceptables dans une telle histoire.Espérons pour la suite...
Azumi charmante jeune fille.
Premières impressions
A part les perruques en poil de paillassons et la médiocrité des acteurs lors des scènes de combats, Azumi est un film qui a le mérite d'assumer une certaine forme d'originalité au niveau de la mise en scène lors de moments ultras violents.
Sans pour autant être le film du siècle il séduira les amateurs de violence à la japonaise.
J'ajouterai que l'actrice aya ueto "Azumi" a eu le don de captiver mon regard, sans cela j'imagine que la notation aurait était moins clémente, à y méditer si il se trouve que vous n'aimez pas les filles...
UN NEO CHAMBARRA JOUISSIF
Certes, AZUMI n'est pas un chef d'oeuvre, loin s'en faut. La quasi-totalité des acteurs n'en sont pas et il faut bien avouer que le scénario tient en trois lignes... Pourtant, on se laisse prendre au jeu et hormis quelques longueurs, le film se suit avec plaisir grâce à la personnalité caricaturale des personnages et grâce aux combats remarquablement chorégraphiés et hautement jouissifs.
Mauvais gout
Malgre le fric injecte dans ce film, Azumi est definitivement a classe dans les films "cheap":
- les effets speciaux sont cheap: des les premieres seconde les especes de corbeaux hideux nous promettent un spectacle pitoyable, la scene ou le vieux samourai est sur le champs de bataille, envisage comme un tableau, est degueulasse, les explosions ressemblent a rien ( attention les charettes explosent comme les bagnoles dans ce film), la seule tete coupee est un spectacle a elle toute seule.
- la real' et la photo sont cheap: on est plus proche du jeu video que du clip ici.
- les acteurs sont cheap: Azumi la premiere ( la scene de jour ou elle se demande pourquoi elle ne voit pas les etoiles est collector, son rire egalement est enorme!), Les autres acteurs sont asez nuls aussi dans l'ensemble. Le personnage du singe est assez pathetique d'ailleurs.
- Les combats: juste corrects donc pas assez bien pour ce genre de film.
- le scenario: pas cheap, inexistant. D'accord c'est pas genant pour ce genre de film, a condition que tout le reste soit au top.
Donc voila un film bien moche, bien inutile avec tout de meme quelques moments (volontairement) droles: je pense au bras de fer et a la scene ou le mec a la rose coupe la main d'un autre guerrier.
19 septembre 2007
par
LKF
Terrible !
Vraiment très bon, L'histoire n'est peut-être pas très originale, mais je l'ai bien aimé. Peu m'importe qu'Aya Ueto ne sache pas manier un sabre, je ne suis pas expert en la matière. J'adore aussi l'ennemi principal, il est terrible,complètement déjanté. Et la scène de la première mission, une tuerie.
T'as d'beaux yeux, tu sais.
Azumi, ou mon fantasme. Le fantasme d'une adolescente fleur-bleue qui est forcée à tuer, forcée à aider, forcée à tuer encore. Elle est petite, Azumi, elle est jolie mais pas trop, et elle est vachement forte. C'est plus fort que moi : toutes les bêtises romantiques remontent à la surface. Azumi, c'est Rosetta. Ryuhei Kitamura, c'est les frères Dardenne. Quelle différence ? Entre une ado en jupette rouge sur une mobylette pourrie, et une orpheline géniale aux yeux pénétrés d'un noir d'infographie, quelle différence ? Aucune. Et Kitamura le sait. Il ne fait pas dans le cinéma bis, Kitamura. Il donne le change, c'est tout. Ce qui l'intéresse, c'est le bordel post-moderne de toutes les images post-cinéma. Comment filmer alors que tout est épuisé ? En variant les plaisirs. En pêchant une idée chez Carpenter et une image chez Hark. En faisant tout un film sur cette idée et cette image. En rigolant de voir que l'idée et l'image ne collent pas, que rien ne colle, que tout se déglingue. Plus ça va, plus il se marre, Kitamura. Il n'est pas Hark, lui, il n'a pas sa colère ni sa foi. Il n'est pas Godard. Il n'est personne. Autant annuler l'objet, le rendre quelconque, et donc singulier. Singulier quelconque, une manière de déjouer toutes les prises auxquelles on voudrait le soumettre. Science-fiction, fantasy, fantastique ? Rien de tout cela. Rien du tout. Grand film rebelle et donc grand film grégaire, "Azumi", pour le coup, peut tout se permettre. Même - et surtout - d'être superbement gnangnan.
bof...
le cas Kitamura....
mine de rien, ce réal jouit d'une réputation flatteuse,surtout en France d'ailleurs,notamment avec la sortie de "versus" au ciné...
mais malheureusement, avec cette nouvelle démonstration, force est de constater que kitamura semble un réal bien limité.
Bon, le parti pris de faire des films juste "pour le fun",passons encore.
bon "versus" ok. mais bon "azumi" c'est son 4eme film si je ne m'abuse.
il serait peut etre temps de faire autre chose que du film basique "100% style 0% reflexion"
les blagues de potache,ca va un temps. d'autant plus que, même si "azumi" est plus "pro" que "versus",on retrouve les mêmes écueils.
sam Raimi au moins avec ses "evil dead" proposait une progression.
ici Kitamura n'a semble t'il pas pris en compte les défauts de sa première réal.
parce que oui, ce jeune réal ne sait pas fabriquer de bons films funs.
tout ce qui m'avait énervé ds "versus" est encore là,et c'est ce qui sépare "azumi" selon moi du statut ô combien envié de "film culte":
-déja "azumi" est beaucoup trop long.
et oui Kitamura n'a pas compris que ce qui peut etre bien en 90 min n'est pas forcément judicieux en 2h20.
du coup,tunels de dialogues,longeurs,c'est mauvais pour un film qui se veut finalement l'actionner ultime.
-"azumi" est kitch et souvant mal fichu.
là aussi "versus" ca passe,c'est un premier film,on va passer la dessus (et encore que...) mais là,avec un budget plus confortable,on a la même chose!
beaucoup de passages vraiment kitch(pour un film shaw de 1960,passe encore,mais là...) et encore et toujours une interprétation désastreuse et certains passages de la réal foireux
bref,on va peut êrte s'arreter là sur les défauts.
toujours quelques scènes à sauver,notamment les scènes de combats,pour la plupart relativement réussis et spectaculaires; et vous obtenez un film beaucoup trop long (2h20 sans scénario c'est long), pas jouissif comme cela devrait,quelques fois ridicules et d'autres fois,il faut le reconnaitre,assez amusant
Classique mais efficace
Il faut admettre que ce film ne brille pas par son originalité, tous est du "déjà vu"; de plus certaines longueurs auraient pu être évité. Mais il faut reconnaître que j'ai passé un 'agréable' moment en le regardant (surtout que c'était sur grand écran).
Le film aurait quand même beaucoup gagné en intensité si il était interprété par de vrai artistes martials.
Manga Live!!!
Après Versus ,Aragami ,Alive, le DERNIER Kitamura se nomme simplement Azumi!
Cette adaptation du Manga du même nom( il me semble ) va permettre à kitamura d'avoir enfin un budget conséquent pour réaliser ses délires cinématographiques typiques.Cependant force est de constaté que depuis Versus, ces films n'ont que tres peu évolué et c'est là le principal défaut d'Azumi auquel s'ajoute un scénario peu interressent , mais stt des acteurs principaux pas du tt charismatiques loin par exple des heros du récent Musa ou Hero (manga oblige ils snt jeunes voire adolescent de mon age ce qui décrédibilise leurs statut d'assassins "invincibles").dE plus la bande son bien trop axée sur les guitares electriques dénature grandement le film .Reste comme tjrs avec Kitamura des combats sympathiques, un humour bien dosé ,des scènes où les silences remplacent à merveilles les dialogues soporisant du film. Au final , AZUMI n'est pas vraiment mauvais ,n'est pas réussit non plus ; décevant ,mais c largement mieux qu'une superproduction américaine à la bad boys 2 ,ou Van Helsing!
un bon film
Azumi assure un bon spectacle et l'ont ne s'ennui pas une seconde avec ses combats très rythmés, surtout le denier combat ou Azumi se bat contre + d'une centaine de personnes. Aya Ueto sans sort très bien dans sont rôle je trouve et les ennemis sont assez déjantés.
Le plan de camera en rotation horizontale à la fin est original faut pas avoir le mal de mer
La recette ne fonctionne pas 2 fois.
Azumi assure un bon spectacle,tous les moyens sont réunis pour garantir du bon divertissement,mais Azumi n'est que cela.Les manques de versus (1 scenar et des personnages construits avec 1 minimum de personnalité) ne lui étaient pas préjudiciables,ici pour suivre cette aventure de 2h20 ces manques sont de vrais lacunes,qui perd/gagne n'a plus d'importance,seule l'attente du prochain combat donne l'envie de poursuivre le film.
De bonnes idées plus ou moins bien exploitées
J'aime bien ce film. Pourtant, j'avais détesté
Versus du même réalisateur. Avec
Azumi il y a du progès.
Déjà, le scénario est beaucoup plus interessant et le budget semble l'être aussi.
Certes, la plupart des acteurs sont mauvais (comme dans "Versus"), mais le ton manga apporté au film lui donne un certain charme, pas désagréable à regarder. On adhère ou on adhère pas.
Les scènes de combats (passables dans l'ensemble) ne manquent pas d'être originales. Le combat dans les champs avec type qui tient la fleur dans sa bouche m'a fait penser à
Ninja Scroll.
Même si certains personnages sont ridicules, "Azumi" se regarde sans déplaisir. Peut-être un peu long sur la fin.
Une belle blague, mais une blague quand même
Azumi, c'est une bande de jeunes beaux gosses (on peut tout reprocher à Aya Ueto, son charisme de poulpe, son jeu d'acteur à faire pâlir de jalousie les Twins ou sa crédibilité frolant le zéro absolu en tant que guerrière, mais s'il y a bien une chose qu'il faut lui reconnaître, c'est que c'est une mega bombe). Ils sont jeunes, puissants et prennent bien la pose après chaque coup porté, histoire que le spectateur ne loupe rien. Mais je vous rassure, il n'y a rien à louper. Un film pour montrer une belle plante tout du long, moi je veux bien, mais il faut un minimum d'intérêt à côté de ça. Or ici, que dalle, si ce n'est des poses, du sang qui gicle et encore des poses. Niveau intérêt de l'histoire et jeu d'acteur, on se fait une raison dès le départ, espérant que l'action sera au moins à la hauteur. Eh bien que nenni, c'est mou que ça en peut plus. C'est rempli de plans courts histoire de cacher au maximum la nullité des acteurs lors des scènes de combat.
Si vous voulez voir de l'idol faire joujou avec des armes, préférez Battle Royale, au moins on vous arnaque pas sur l'action.
MANGA LIVE
Vu les critiques mitigées, j'ai hésité a voir Azumi . Mais le film, dans sa version longue, est pas mal, bien qu'il ne soit pas sans défaut . Justement le film tarde à démarer et on doit attendre un certain temps avant d'être mis dans l'ambiance du film . Autre points négatifs l'absence de scénario, la mise en scène qui n'est pas transcendante ... Les combats sont plutôt réussi, surtout lorsque l'heroine affronte les "200 guerriers", mais le film fait trop manga live (même si c'est une adaptation) . L'actrice qui joue Azumi est assez jolie mais manque cruellement de charisme comme la plupart du casting . J'aurai plutôt vu Chiaki Kuriyama dans le rôle d'Azumi .